Le MoDem 54 présent pour la rentrée vitaminée de notre ministre, Jean-Noël Barrot
Danièle NOËL
Cet événement qui a eu lieu ce 7 septembre dans les Yvelines était immanquable.
Antoni Banasiak, délégué territorial, y a représenté le Mouvement démocrate de Meurthe-et-Moselle.
La forte affluence a témoigné de l’estime que les participants portent à Jean-Noël Barrot. Fidèle à lui-même, le sourire aux lèvres, il a pris soin d’accueillir personnellement chacun d’eux.
Il est vrai que cet homme, issu d’une lignée engagée en politique, s’est affirmé par lui-même, forgeant son propre parcours jusqu’à devenir vice-président du MoDem.
Jean-Noël Barrot est un économiste au parcours académique d’exception. Diplômé d’un master de l’École d’Économie de Paris, il a soutenu un doctorat à HEC sous la direction de David Thesmar. De 2013 à 2017, il a également enseigné au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) à Boston.
Nommé Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en février 2024, Jean-Noël Barrot occupe une place stratégique au sein du gouvernement. Ce choix reflète autant sa connaissance fine des rouages de l’exécutif que son poids politique croissant.
Vice-président du MoDem, ancien ministre délégué au Numérique, il est l’un des relais les plus influents de François Bayrou au sein de la majorité. Figure de pont entre le centre et l’exécutif, sa présence à ce poste sensible s’inscrit dans une logique d’équilibre politique, à un moment où la majorité cherche à se recomposer après les Européennes.
Surtout, Jean-Noël Barrot se distingue par son message de vérité ; il est, entre autres, le premier à déplorer le «scandale» de la situation humanitaire à Gaza, demandant un cessez-le-feu dans l’enclave et un accès à l’aide humanitaire.
Mais si les convives sont venus nombreux, c’est parce que « Jean-No », ainsi que l’appellent familièrement ses amis, est avant tout un homme de passions, d’actions, de loyauté, de fidélité.
C’est un homme au grand cœur, dont l’humanité transparaît dans chacun de ses gestes. Animé par un profond sens de l’engagement, il n’a jamais hésité à se mettre au service des autres, avec constance, loyauté et une fidélité sans faille à ses valeurs.
Il incarne cette rare intégrité qui fait de lui un repère, un homme sur qui l’on peut compter.
Malgré les responsabilités importantes qu’il assume au fil des années, il sait rester d’une humilité exemplaire. Proche des gens, à l’écoute, il ne s’est jamais retranché derrière ses fonctions.
Au contraire, il garde, et a toujours gardé, les pieds sur terre, convaincu que la vraie grandeur réside dans la simplicité et la proximité.
Son parcours est celui d’un homme de compétences qui n’a jamais cherché la lumière, mais dont la droiture et la bienveillance rayonnent naturellement.
Un homme de parole, de devoir, et surtout, de cœur.
Un homme à qui on peut envoyer un sms alors qu’il est en plein marathon politique entre Paris-Lviv- Bélem et qui répond : « tu ne me déranges jamais. »
Aussi, alors que la vie politique vacille, minée par le renoncement et la lâcheté , qu’elle se meurt du manque de courage de ses dirigeants, que des forces puissantes s’emploient à nous diviser, à nous affaiblir et à nous figer dans l’impuissance, et que la planète entre en surchauffe, l’exigence de responsabilité n’a jamais été aussi forte.
Dans ce chaos, la présence d’hommes politiques comme Jean-Noël Barrot est cruciale : ils nous rappellent, par leur engagement et leur lucidité, que la France peut encore rebondir, à condition d’en avoir la volonté.
La France a des talents, une énergie créatrice qui interdisent la résignation.
Nous devons refuser un avenir de bureaucratie et de grisaille et libérer les puissances du rêve et de l’action.
« La France en a la force et le génie. C’est à nous d’en créer les conditions. »